À la découverte du monde
S’embarquer pour une traversée ou une croisière, pour un voyage d’affaires ou d’agrément, c’est assurément s’offrir une part de dépaysement et profiter d’une parenthèse loin des tracas du quotidien.
A la découverte du monde
S’embarquer pour une traversée ou une croisière, pour un voyage d’affaires ou d’agrément, c’est assurément s’offrir une part de dépaysement et profiter d’une parenthèse loin des tracas du quotidien.
En complément des voyages assurés toute l’année sur les lignes régulières, les compagnies maritimes proposaient une large gamme de croisières, plus particulièrement pendant les périodes de vacances ou à l’occasion de diverses fêtes religieuses. Croisières vers les Antilles ou l’Afrique du Nord à destination du soleil, découverte des anciennes civilisations à travers les sites antiques de Méditerranée et d’Extrême-Orient, pèlerinage vers les lieux saints ou encore quête d’aventure et de dépaysement à l’occasion d’excursions dans le Grand Nord, toutes les envies étaient satisfaites !

Anonyme. Départ en escale des passagers du paquebot De Grasse (CGT 1924)

Anonyme. Porte Bab Agnaou à Marrakech

Anonyme. Château de Drottningholm en Suède

Anonyme. Forum de Pompéi

Anonyme. Le paquebot Lafayette (CGT 1930) en escale en Norvège

Anonyme. Salle Dorée de l’Hôtel de Ville de Stockholm

Anonyme. Château de Fredriksborg, près de Copenhague

Anonyme. Balade à cheval aux Etats-Unis

Anonyme. Passagère sur les glaces du Spitzberg, à Magdalena-Bay

Anonyme. Vieilles maisons à Stockholm

Anonyme. Arrivée d’un paquebot de la Transat à Curaçao

Anonyme. Black Pier Victoria à Hong Kong, en 1948

Anonyme. Le paquebot Armand Béhic (MM 1892) à Port Saïd

Byron Company. Remorquage du paquebot De Grasse (CGT 1924) dans le port de New York

Anonyme. Autocars dans le port d’Alger

Anonyme. Le paquebot De Grasse (CGT 1924) à Venise

Anonyme. Port de Curaçao

Anonyme. Le paquebot Paul Lecat (MM 1912) à Port-Saïd

Anonyme. Quai du Maréchal Lyautey à Bordeaux

Anonyme. Arrivée du paquebot Champlain (CGT 1932) à Venise, en 1938

Anonyme. Port de Yokohama, en 1929
Que l’on arrive dans les plus grands ports des États-Unis ou d’Europe où les gares maritimes proposaient de nombreux services et une multitude de boutiques, ou que l’on débarque dans des ports aux dimensions et capacités plus modestes, l’arrivée d’un navire suscite toujours une intense agitation : les remorqueurs ou les vedettes venant à la rencontre du navire guidé par le pilote, les lamaneurs prêts à l’amarrage, les dockers sur le quai attendant de charger ou de décharger les marchandises, les trains fumant prêts à repartir, les autocars loués pour l’excursion programmée…
Représentant les espoirs d’une vie meilleure pour les émigrants débarquant à Ellis Island, ville moderne et puissante incarnée par les gigantesques gratte-ciels, aucun passager ne reste indifférent à son arrivée dans le mythique port de New York. Pour la célèbre French Line, ligne incontournable et prestigieuse partant du Havre, la Transat faisait construire ses plus grands et ses plus majestueux paquebots. Recevant un accueil des plus triomphal de la part de la ville de New York lors de leur traversée inaugurale, Paris, île-de-France, Normandie ou encore France (1962) y ont véhiculé l’image du luxe et de l’art de vivre à la française. Accostant au pier qui leur était spécialement réservé, les paquebots de la Compagnie Générale Transatlantique attiraient immanquablement une foule de spectateurs venue admirer ces chefs-d’œuvre du savoir-faire français.

Anonyme. Le paquebot France (CGT 1962) devant les piers de New York

Louis Hamon. Arrivée du paquebot Liberté (CGT 1950) au pier 88 à New York

Anonyme. Foule sur le pier de la French Line à New York

Anonyme. Les paquebots France (CGT 1912), Ile-de-France (CGT 1927) et De Grasse (CGT 1924) à New York

Anonyme. Le paquebot Lafayette (CGT 1930) au large de Staten Island à New York

Anonyme. Arrivée du paquebot Champlain (CGT 1932) au pier de la French Line à New York

Anonyme. Ile-de-France (CGT 1927) et Liberté (CGT 1950) au pier de la French Line à New York

Anonyme. Le port de New York vu depuis le pont de Brooklyn

Anonyme. La statue de la Liberté vue du pont d’un navire

Byron Company. Le paquebot Paris (CGT 1921) au pier de la French Line à New York

Anonyme. Port de Curaçao

Anonyme. Palais en Afrique du Nord

Anonyme. Musée Prince of Wales à Bombay

Anonyme. Pont Dvortsovy à Leningrad

Anonyme. Palais de la Bahia à Marrakech

Anonyme. Phare de Smeaton à Plymouth

Anonyme. Temple de la Concorde à Agrigente en Sicile

Anonyme. Une rue à Sfax

Anonyme. Port de Palma de Majorque et cathédrale Notre-Dame

Anonyme. Spectacle de danse traditionnelle en Suède
Arrivés à destination, pour une escale ou de longues vacances, les passagers peuvent partir à la découverte de nouvelles cultures et traditions : des souks animés nord-africains à la tranquillité de la campagne anglaise, des canaux de Leningrad aux ruines de Pompéi, des joyaux de l’architecture islamique jusqu’à l’exploration des sites de l’Indochine et des Indes, les possibilités sont infinies et le temps toujours trop court pour satisfaire curiosité et soif de culture.
Afin de diversifier ses activités, la Compagnie Générale Transatlantique créé la Société des Voyages et Hôtels Nord-Africains pour proposer des visites touristiques de l’Algérie, du Maroc, de la Tunisie et du Sahara. Cette offre comprend la traversée maritime depuis la France, le circuit en autocar ou en automobile ainsi que des haltes dans les différents « Hôtels Transatlantique » pour y déjeuner ou y passer la nuit. Les passagers retrouvaient dans ces hôtels la qualité de la gastronomie française dans les menus proposés mais aussi tout le confort des cabines des paquebots, après de longues journées d’excursion sous un soleil de plomb.

Anonyme. Hôtel Transatlantique de Rabat

Anonyme. Touristes dans l’Hôtel Transatlantique de Tozeur

Anonyme. Automobile des auto-circuits nord-africains

Anonyme. Hôtel Transatlantique de Biskra

Anonyme. Chambre de l’Hôtel Transatlantique de Tlemcen

Anonyme. Excursion en automobile en Afrique du Nord

Anonyme. Hôtel Transatlantique de Tlemcen

Anonyme. Automobiles des auto-circuits nord-africains devant l’Hôtel Transatlantique de Tozeur